Bienvenue les vers de terre
Bande-annonce
Bienvenue les vers de terre
Réalisation : François Stuck
-> Rencontre avec le réalisateur en direct sur Facebook & Noozy : Vendredi 21 mai - 19h
Production : IDÉtorial
8 rue du Chatelain - 46350 Payrac
stuck@idetorial.fr / emmanuel-jacquin@idetorial.fr
Synopsis
L’humanité est arrivée à une époque où les choix qui sont faits permettront de relever les défis qui nous attendent ou bien nous conduiront au chaos. Aujourd’hui, il ne fait aucun doute que l’agriculture de conservation et de régénération des sols est l’une des solutions majeures de l’agroécologie pour développer une agriculture durable qui a pour devise « Cultiver sur un sol vivant ». Ce documentaire donne la parole à ceux qui pratiquent cette agriculture.
François Stuck
François Stuck est réalisateur. Ses documentaires abordent des sujets de société et s'attachent à exprimer la complexité des enjeux qu’ils traitent, tout en prenant le temps de le dire. Il est aussi le concepteur des Actualités Locales au Cinéma qui ont pour ligne rédactionnelle "Que se fait-il de bien près de chez nous ?"
Thématique : Solutions paysannes
Cette année encore, pas de film sur les grandes exploitations, le Nord betteravier et la Région Parisienne céréalière qui font cruellement défaut dans notre filmothèque. Réticence du milieu à montrer ce qui s’y passe, hésitation des cinéastes à aller filmer autre chose que l’agriculture de la moyenne montagne, de petite taille, pleine d’expérimentations novatrices à petite échelle. Les films qui nous sont présentés dans cette édition, ne cachent ni les impatiences, ni les hésitations. Ils insistent sur le compromis à trouver entre gagner sa vie et être bien dans sa peau. Au début, rompre avec ses habitudes et l'historique familial, sortir l'agriculture de l'énergie fossile est un saut dans l'inconnu. Sortir d’un schéma imposé et aller vers un retour à l’analyse du vivant, de la terre, des plantes. « Le premier intrant c'est la connaissance… » Certains travaillent pour atteindre l'objectif du bio mais savent qu’il est difficile de se passer complètement de l'herbicide, et qu'il faut se poser la question de l'objectif pour aller, en attendant, vers des compromis. D’autres ont franchi l’étape mais ne se sentent guère soutenus…Enfin, pour les éleveurs de montagne confrontés aux prédateurs, comment trouver le compromis, l’équilibre à établir entre préservation des espèces menacées et vie pastorale ?